L’insensibilité des autorités haïtiennes et la communauté internationale face à la terreur des Gangs armés à Port-au-Prince qui tuent, brûlent et chassent les gens, un sujet qui mérite beaucoup de questionnements.

C’est inconcevable, le Comportement de la communauté internationale en Haïti, des ambassades des pays de l’Occident en Haïti, de BINUH et les organisations internationales des droits humains face à leur responsabilité de protéger.
C’est un silence complice et qui traduit la complicité de la communauté internationale dans la situation actuelle d’Haïti.
La responsabilité de protéger de la communauté internationale est une convention signée en 2005 et adoptée par tous les pays membres du conseil de sécurité des Nations Unies.

La situation actuelle d’Haïti doit toucher la conscience de toutes les nations du monde et encore plus, les responsables des Nations Unies.

Le Mouvement Point Final dénonce ce mépris affiché par la communauté internationale vis à vis du peuple haïtien qui souffre de la terreur et la violence des Gangs armés.

Nous sommes en train de constater l’effondrement d’une nation qui a marqué l’histoire de l’humanité et en particulier l’histoire de la race noire.

C’est inacceptable, le niveau de violences en Haïti. Les Gangs armés mettent à feu et à sang toutes les institutions républicaines du pays en présence de la communauté internationale. En présence de l’Occident, en présence des Nations Unies.
Personne ne peut dire halte-là. Cessez les violences. Le Pays en a marre.

C’est un fait exprès de la communauté internationale. C’est un projet bien monté qui est en train d’être exécuté par les vas-nu-pieds du pays.
Comme l’Occident a dit qu’il faut constamment soulever les vas-nu-pieds contre les gens à chaussures dans ce pays de nègres qui a changé la face du monde pour les empêcher de s’épanouir en vue de les maintenir dans un état de sous développement et de misère.

Aujourd’hui, ça va trop loin. Ce n’est pas seulement une question de vas-nu-pieds contre les gens à chaussures. C’est une guerre fratricide, une guerre civile, une jungle. On s’entre-déchire sans aucune raison valable ou peut être tout simplement pour faire le jeu du blanc.

On se le rappelle du temps de la colonie, 17 ème et 18 ème siècles, les blancs organisent des combats de nègres comme distraction et des combats de nègres contre des chiens féroces.
Aujourd’hui, c’est encore la même chose. Ils n’utilisent pas des chiens féroces pour nous dévorer.
Ils nous fournissent des armes automatiques pour s’entre- déchirer , pour tuer l’un l’autre comme des animaux sauvages dans les jungles africaines.

Donc, le Mouvement Point Final croit qu’on doit trouver un moyen en extrême urgence pour mettre fin à ce climat de terreur qui dure trop longtemps dans le pays et qui fait le bonheur de la communauté internationale.

Il n’y a pas d’autres moyens que d’établir un procole de Paix entre les forces de l’ordre et les Gangs armés en Haïti. Il faut fermer le robinet du sang qui coule quotidiennement dans les robinets de la région Métropolitaine de Port-au-Prince, alors que l’eau ne coule pas, pendant que la population haïtienne confronte à un stress hydrique avec une absence de l’eau dans les foyers et dans les communautés.

Le Mouvement Point Final crie fortement, Halte-là là. Trop de sang coule à flot dans le pays, il faut stopper cette hémorragie.
Le temps n’est pas à la guerre civile, le temps est plutôt à la Paix.
Agissons ensemble pour trouver un modus operandi pour établir un protocole de Paix dans le pays pour fermer le robinet de sang à Port-au-Prince et dans des villes de province.

Ulysse Jean Chenet

Article précédentKi lè yon moun sitwayen ?
Article suivantKi wòl Edikasyon nan yon sosyete ?

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici