La Solidarité Nippoise pour les Droits de l’Homme – SONIDH, dénonce avec la plus grande rigueur, un complot visant à assassiner le directeur exécutif de la dite organisation, répondant au nom de Me Marc-Arthur BIEN-VENU, pour le travail combien efficace réalisé par la SONIDH au sein du département des Nippes, mais aussi et surtout pour la prise de position de Me BIEN-VENU dans le dossier du conflit terrien dans le quartier de Saint-Michel du Sud, dans lequel le curé de la paroisse dudit quartier chasse les pauvres paysans, fermiers de l’Etat haïtien, occupant les terrains depuis plusieurs décennies. Maintenant le curé de la dite paroisse, Robenson Gregroire, vend plusieurs parcelles de terre appartenant à L’Etat haïtien aux gens fortunés de la région.
Par rapport aux nombreuses sorties effectuées dans la presse par le directeur exécutif de la SONIDH pour dénoncer ces pratiques malhonnêtes d’un groupe individu en complicité à Me Robinson Grégoire, ce denier complot de concert aux nommés Rémy JEAN BART, greffier du Tribunal de Paix du quartier de Saint Michel, Verdieu ainssi connu (Propriétaire Morgue) et Wilfrid ainsi connu pour lui ôter la vie. A noter que le cerveau dudit complot est bel et bien Rémy Jean Bart.
Il est important de rappeler pour l’opinion nationale et internationale que ce même Rémy Jean Bart a déjà proféré des menaces de mort à l’endroit du directeur exécutif de la SONIDH en date du 18 mai 2023 pour son opposition au Greffier qui demandait à un groupe d’élèves de l’école Nationale de Saint Michel fêtant la fête du Drapeau, d’aller effectuer la parade au sein même du marché pendant que celui ( la marché) fonctionne.
A rappeler également que Me Marc Arthur BIEN VENU, directeur exécutif de la SONIDH est professeur à plein temps de ladite école.
A cet effet, la SONIDH condamne de toutes ses forces ce plan macabre de ces gens malhonnêtes visant l’assassinat de son directeur exécutif et demande aux autorités judiciaires compétentes de la juridiction de Miragoâne de saisir du dossier. De plus, elle sollicite aux organisations des Droits Humains tant à l’échelle nationale qu’internationale de lui prêter la main forte dans ce dossier afin d’éviter au directeur et sa famille d’être victimes.
Fait à Miragoâne le 12 février 2024.